Fessenheim fiction 2017


Voila deux clichés de Fessenheim depuis les hauteurs de Bad-Bellingen.

Fessenheim, avant 2017

Fessenheim, après 2017

Le paysage va y gagner, c’est sûr.

Pas seulement.

On peut penser ce qu’on veut des socialistes français et regretter leur timidité à inventer un modèle de développement qui conduit à la disparition du nucléaire mais au moins un pas est fait.

Si le candidat socialiste est capable de redonner à la puissance publique son rôle moteur dans les choix énergétiques du pays en décidant de fermer un outil industriel comme Fessenheim, il ne sait toujours pas expliquer que l’heure de l’après-nucléaire a sonné de façon globale. Pourtant les coûts de maintenance, de démantèlement et de reconversion du nucléaire vont nous coûter de plus en plus cher avec les exigences nées de l’après-Fukushima.

La poursuite des travaux de l’EPR de Flamanville, qui est un gouffre technologique et financier hasardeux laisse planer un doute sur la volonté de Hollande de s’engager vers une vraie alternative énergétique.

 

Une réflexion sur « Fessenheim fiction 2017 »

  1. Me dis pas qu’t’as fait sauter Fessenheim !

    On la vois plus dans le paysage !

    En attendant quelques jours l’élection, puis quelques années que le candidat tienne ses promesse, puis quelques siècles que les éléments radioactifs à période courte se soient désintégrés, ce ne serait qu’un mauvais souvenir

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